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"Il n'existe pas d'amour plus sincère et innocent que celui d'un enfant. Alors n'abusons pas de sa confiance et donnons lui ce qu'il mérite en retour."
-Sandra Mathieu


 Je suis exactement comme toi. Je croyais que tout était ok, jusqu’à ce que je comprenne... Autrement 
Je suis exactement comme toi…
Pendant des années, j’ai cru que tout irait bien en suivant les grandes théories et en travaillant sans relâche. Pourtant, les réalités de la petite enfance, du milieu scolaire et de l'éducation m’ont appris que rien ne se passe jamais comme prévu. Entre les imprévus, la pression, le manque de ressources et la fatigue, j’ai souvent pensé décrocher. C’est en restant sur le terrain, jour après jour, que j’ai compris à quel point nos défis se ressem


L'éducation. Rien n'a changé... sauf nous
On ne m’a pas formée par des manuels au départ, mais par la vie elle-même. Par les rues, les étés dehors, les enfants qu’on apprend à lire avec le cœur avant les mots. Aujourd’hui, on sait tellement, et c’est précieux. Mais parfois, à force d’étudier l’humain, on oublie de le sentir. Et au fond, l’éducation n’a jamais été une question de perfection, mais de présence. On ne la transforme pas en la portant à bout de bras… on la transforme en la portant ensemble. La lumière ne f


Le brouillard de novembre... en éducation
l y a des matins où même le café semble fatigué. Le soleil se lève en retard, la pluie hésite entre bruine et soupir, et les manteaux s’empilent — trop minces, trop petits, parfois oubliés à la maison. On rit un peu, on soupire beaucoup, et on jongle avec les mitaines perdues comme avec nos propres pensées. Novembre, c’est ce mois où tout semble un peu flou, mais où la confiance des enfants pousse plus vite que les fleurs du printemps.
Dans ce brouillard, on apprend à marche


Quand le travail use le cœur. Réflexion sur le bien-être en milieu éducatif
Il m’arrive, moi aussi, de me sentir à bout.
Pas parce que je n’aime plus mon travail, mais parce que j’oublie parfois de m’aimer, moi, dans ce travail.
Il y a des jours où je donne tout… et où il ne reste plus rien pour me remplir.
C’est là que je me rappelle que le bien-être, ce n’est pas un luxe.
C’est ma responsabilité.
C’est ma façon de rester debout sans m’endurcir, présente sans me perdre.
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